lundi 1 septembre 2008

Déjà une semaine à Turku

Hei ! Moi ! (eh oui, je sais déjà dire salut en finnois !)

Voilà maintenant une semaine que je suis à Turku. Le temps est passé très rapidement malgré de grosses journées et soirées.
Quant à l’autre temps, celui qui rime avec intempéries s’agissant de la Finlande, je m’y suis fait. Disons que le temps ici est très variant. Le matin on peut largement apercevoir le bleu du ciel, puis les nuages s’entremêlent et on n’est jamais à l’abri d’une grosse averse.

C’est pourquoi j’ai acheté un parapluie aujourd’hui (si vous voulez d’autres détails aussi croustillants n’hésitez pas à le signaler)

La température joue aussi avec nos habits. Le jour d’après mon arrivée, il faisait 14°C le matin, 9°C l’après-midi, puis 17°C dans la soirée.

Ainsi, le chaud et le froid ne me faisant plus peur, je joue un peu avec. Ah cette bonne vieille habitude finlandaise… je l’ai adoptée en une semaine, alors que je ne m’en serais jamais cru capable. Vous voyez peut-être de quoi je parle ?


Voici une illustration sympathique : faites cuire un ravioli, pendant 10 minutes. Mettez ensuite ce ravioli chaud dans votre freezer pendant une minute, puis sortez-le. Si vous goûtez ce ravioli, vous pourrez vous apercevoir qu’il est toujours assez chaud pour être mangeable.




C’est un peu pareil pour un homme dans un sauna puis dans la mer baltique. A la fin il est toujours assez chaud pour être vivant, la preuve en est que j’arrive toujours à taper sur un clavier.



Melissa (Pérou) et Marek (Pologne - mon coloc') n'ont pas hésité à sauter dans l'eau, où j'étais déjà bien au chaud.


Bon, bien sûr, on a un peu triché sachant que l’eau n’était pas recouverte de glace.

Vous voyez ces gens… je ne me rappelle même pas de tous les noms.
On fait trop de rencontres ici… C’est bien mais vraiment trop. Pendant que j’essaie de me souvenir de tous ces prénoms étrangers j’oublie que je dois m’enregistrer dans un cours pour pouvoir y participer.

Si ce n’est pas le prénom que j’oublie, c’est la personne qui l’a entré avec son numéro dans mon tout nouveau téléphone portable Nokia (2610). Eh oui, je porte la Finlande jusqu’au bout des doigts.

Et je sais que ça en fera ricaner certains si je dis que je me suis fait avoir en achetant ce téléphone basique 60 euros, sachant que mon camarade français Mickaël en a acheté un très design avec appareil photo pour le même prix.

Le prochain numéro parlera entre autres des prix en Finlande.

Allez, juste un avant-goût : une pinte en boite (Klubi) coûte 3€50.

See ya

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Hum ça m'a l'air super bien dit donc!
J'aime bcp ta facon de raconter ta semaine avec des illustrations pr que les pauvres français que nous sommes comprennent bien les coutumes finlandaises!